Les acides aminés sont les éléments constituant les protéines qui sont utilisés lors de la synthèse des protéines dans l'organisme. Une formule à base d'acides aminés ne contient pas de protéines de lait de vache.
Les allergènes (dont le lait) sont mis en évidence en caractères gras ou italiques, dans la liste des ingrédients, sur les étiquetages. En France, pour les produits non préemballés (produits vendus en boulangerie, boucherie…), l’indication obligatoire de la présence d’allergènes doit être faite par écrit, à proximité du produit concerné, de façon à ce qu’il n’existe aucun doute pour le consommateur sur la denrée concernée.
Les recommandations des autorités de santé publique recommandent de débuter la diversification alimentaire, sur avis médical, vers 6 mois. Votre médecin vous indiquera le meilleur moment pour introduire des aliments solides autres que votre allaitement ou la formule prescrite à votre bébé, dans l'alimentation de votre bébé. La diversification alimentaire doit être réalisée sur conseil médical et c'est encore plus important chez un bébé APLV.
Voici quelques signes physiques pouvant indiquer que votre bébé peut être prêt à accepter des aliments solides :
D'autres comportements généralement observés autour de 4-6 mois, peuvent aussi suggérer que votre bébé est prêt à accepter des aliments solides :
Consultez votre médecin avant de donner un nouvel aliment solide à votre bébé, car il est la meilleure source de conseil.
La tolérance orale aux protéines du lait de vache s'acquiert dans la plupart des cas entre l'âge de 3 et 5 ans. Cela signifie qu'ils deviennent capables de consommer des produits laitiers sans avoir de réaction allergique.
La tolérance orale au lait de vache signifie qu'un enfant APLV peut désormais boire et consommer du lait et des produits laitiers sans manifester de réaction allergique. Cela signifie que l'enfant peut alors partager, avec plaisir, les mêmes repas que sa famille et son entourage. La plupart des enfants vont devenir naturellement tolérant en moyenne autour de l'âge de 3 à 5 ans. Le médecin va tenter de réintroduire les protéines de lait de vache pour évaluer le seuil de tolérance de l'enfant. On parle alors "d'acquisition de tolérance" lorsque cette réintroduction est réussie.
Nos formules hypoallergéniques destinées aux enfants APLV ont été conçues pour limiter le risque de réaction allergique. Les peptides de protéines de lait dans Nutramigen* 3 LGG® sont si petites qu'elles ne provoquent, dans la plupart des cas, aucune réaction allergique. Votre formule vous a été prescrite par votre médecin, n'hésitez pas à lui demander conseil si vous avez des doutes. Par ailleurs, nous vous engageons à bien lire la liste des ingrédients mentionnée sur votre boîte et tous les produits que vous achetez car les ingrédients allergènes sont mis en évidence clairement (en caractère gras, italique) sur les emballages.
Les enfants allergiques aux protéines de lait de vache peuvent également être allergiques aux protéines de soja. L'huile de soja utilisée dans nos formules hypoallergéniques ne contient pas de protéines de soja, elle n'entraîne donc pas de réaction allergique.
Toutes nos formules de substitution sont disponibles uniquement en pharmacie, prescrites par votre médecin car elles doivent être utilisées sous contrôle médical.
Toutes nos formules hypoallergéniques contiennent de l'huile de soja, purifiée, non allergisante; elles ne contiennent pas de protéines de soja. Nous vous invitons à toujours bien lire les informations présentes sur l'étiquette de la formule prescrite à votre bébé.
Aucune de nos formules de substitution ne contient de lactose. D'ailleurs, c'est pour cela que vous ne trouverez pas de lactose dans leur liste des ingrédients.
Il se peut, que la mesurette se soit déplacée dans le fond de la boîte lors du transport. Dans ce cas, utilisez un couteau propre et sec pour la récupérer. N'hésitez pas à nous contacter au 0810 061 300.
Nos formules sont uniquement vendues en boîtes de 400 g.
Toutes nos formules de substitution sont disponibles uniquement en pharmacie, prescrites par votre médecin car elles doivent être utilisées sous contrôle médical
Toutes nos formules hypoallergéniques sont sans huile d'arachide. D'ailleurs, c'est pour cela que vous ne trouvez pas l'huile d'arachide dans leur liste des ingrédients.
Aucune de nos formules de substitution ne contient de lactose. D'ailleurs, c'est pour cela que vous ne trouverez pas de lactose dans leur liste des ingrédients.
ll est fortement déconseillé de partir avec un biberon déjà préparé. Vous pouvez vérifier l'information sur la boîte de la formule prescrite à votre enfant. Vous pouvez soit préparer l’eau dans le biberon, soit emporter une petite bouteille d’eau qui convient à l’alimentation des nourrissons. Vous prendrez soin d’apporter votre boîte de poudre avec vous. Aujourd’hui, pour faciliter la vie des parents, il existe dans le commerce des boîtes doseuses de lait vous permettant d’emporter les justes doses de mesurettes pour chaque biberon (référez-vous à ce qui est indiqué sur l'étiquette de votre formule) et ainsi de voyager léger.
Les instructions de préparation de nos formules sont indiquées sur l'étiquette de la boîte prescrite à votre bébé. Il est important de bien les suivre pour la santé de votre bébé. En complément voici quelques astuces :
Si vous avez besoin de plus de précisions sur les informations de la boîte, n'hésitez pas à contacter notre service consommateurs au 0810 061 300. Par ailleurs, ces conseils sont propres à Mead Johnson Nutrition et ne concerne que la préparation de nos formules de substitution.
Conformément aux informations présentes sur l'étiquette de votre formule il vous faut laver et stériliser les biberons, tétines, bouchons et ustensiles 1 minute à l'eu bouillie. N'hésitez pas à demander à votre médecin si vous avez besoin de conseils supplémentaires, ou à contacter notre service consommateurs par mail ou téléphone.
Pour la santé de votre enfant, il vous faut bien lire les instructions sur les boîtes de nos formules à ce sujet. Il est toujours recommandé de donner le biberon juste après sa préparation, de l’utiliser dans l’heure qui suit, et de ne jamais replacer au réfrigérateur un biberon déjà entamé. En effet, une fois reconstitué, le biberon peut devenir rapidement impropre à la consommation. Si vous souhaitez le conserver, vous devez au préalable vous assurer que votre biberon peut être conservé entre 2 et 4°C dans votre réfrigérateur, et ce pas plus de 24 heures. Tout biberon ayant été au contact de la bouche du bébé ne pourra être conservé et devra être jeté. Il est très important de respecter les instructions d' hygiène, de préparation, d'utilisation et de conservation mentionnées sur l'étiquetage du produit.
S’il s’agit d’un biberon déjà commencé par votre bébé, vous ne pouvez pas ni le réchauffer, ni le donner à votre bébé. En effet, tout biberon (ou tasse, verre) ayant été au contact de la bouche du bébé ne peut être conservé et doit être jeté. Un biberon de substitut de lait doit être donné juste après sa préparation car il peut rapidement devenir impropre à la consommation. S’il s’agit d’un biberon « non entamé » que vous avez placé au réfrigérateur immédiatement après sa préparation, à une température entre 2 et 4° et depuis moins de 24h, vous pouvez le réchauffer, une seule fois seulement, au bain-marie par exemple, en le laissant bien refroidir à température ambiante. Avant de le donner à votre bébé, il faudra vérifier la température en versant quelques gouttes sur l’intérieur de votre poignet, comme expliqué sur votre boîte. En aucun cas, vous ne devez utiliser un micro-onde pour préparer un biberon ou le réchauffer, car il y a un risque de brûlure. Il est très important de respecter les recommandations en matière d'hygiène, de préparation, de dissolution, d'utilisation et de conservation, précisées sur l'étiquetage de votre boîte. Veuillez lire attentivement les instructions de préparation figurant sur l'étiquette du produit. |
Il vous faut choisir une eau faiblement minéralisée. Vous pouvez utiliser, au choix un eau minérale destinée à l’alimentation des nourrissons ou l’eau du robinet que vous ferez bouillir puis refroidri.
Si votre bébé est allergique aux protéines de lait
de vache, les jus ou boissons végétales (à base de
soja, de riz, d’amande, etc.) peuvent vous sembler
être une alternative. Cependant, suite au
signalement de plusieurs cas graves chez de très
jeunes enfants ayant été partiellement ou
totalement nourris avec des boissons ou des laits
autres que le lait maternel et les substituts du
lait maternel (préparations ou formules destinées
aux nourrissons), l’Agence nationale de sécurité
sanitaire de l'alimentation (Anses) ainsi que le
Comité Nutrition de la Société française de
pédiatrie ont tiré la sonnette d’alarme sur les
risques liés à l’alimentation des nourrissons de
la naissance à 1 an, que cela soit de manière
exclusive ou partielle, avec des boissons
végétales (à base de soja, de riz, d’amande, etc.)
ou laits d’origine animale autre que bovine
(chèvre, ânesse, brebis, jument, etc.). De
nombreux produits en poudre à base de végétaux
(soja, riz, amandes, etc.) portent des
informations ou images qui font croire que le
produit est destiné aux bébés.
Seuls les produits accompagnés de la dénomination
légale de vente « préparation/lait pour
nourrissons » ou « préparation/lait de suite » ou
« aliment diététique destiné à des fins médicales
spéciales » peuvent être utilisés en tant que
substituts du lait maternel, conformément aux
exigences de la réglementation. Pensez à vérifier
la présence de cette dénomination légale sur votre
étiquette, car elle est la garantie de
l’adéquation du produit à la réglementation
française et européenne. Ainsi, les jus ou
boissons végétales (à base de soja, de riz,
d’amande, etc.) ne sont pas adaptés sur le plan
nutritionnel à l'alimentation des bébés jusqu'à 12
mois et sont à risque pour sa santé. Parlez-en au
médecin de votre enfant.
La composition naturelle des laits des autres mammifères (chèvre, brebis, ânesse, jument. . .) les rend inadaptés sur le plan nutritionnel à l’alimentation des nourrissons, jusqu'à 12 mois, qu’ils soient allergiques ou non. Suite au signalement de plusieurs cas graves chez de très jeunes enfants ayant été partiellement ou totalement nourris avec des boissons ou des laits autres que le lait maternel et les substituts du lait maternel (préparations ou formules destinées aux nourrissons), l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation (Anses) ainsi que le Comité Nutrition de la Société française de pédiatrie ont tiré la sonnette d’alarme sur les risques liés à l’alimentation des nourrissons de la naissance à 1 an, que cela soit de manière exclusive ou partielle, avec des boissons végétales (à base de soja, de riz, d’amande, etc.) ou laits d’origine animale autre que bovine (chèvre, ânesse, brebis, jument, etc.). Cette pratique peut être à l’origine d’accidents graves. Par ailleurs, les enfants présentant une APLV peuvent également être allergiques aux protéines de ces laits et un risque d’allergie croisée élevé avec le lait de vache. Parlez-en au médecin de votre enfant.
Si quelque chose entre dans le corps qui est perçu comme nuisible, le système immunitaire de votre bébé réagit pour le combattre. Ce mécanisme aide à protéger votre bébé. Parfois cependant, le système immunitaire réagit anormalement à des substances inoffensives, comme c’est le cas pour les protéines présentes dans le lait de vache. Si votre enfant a une allergie aux protéines du lait de vache, son système immunitaire réagira aux protéines du lait de vache chaque fois qu'il consommera cet aliment. Cela peut entraîner des réactions allergiques persistantes comme des coliques, de l'urticaire, des éruptions cutanées et des problèmes respiratoires et digestifs. Bien qu'il puisse être anxiogène d'apprendre que votre bébé ne peut pas consommer de produits laitiers, il y a de très bonnes chances que ce ne soit pas toujours le cas. La plupart des enfants deviennent tolérant aux protéines du lait de vache avant l'âge de 3 à 5 ans.
Le type de réactions et leur gravité varient d'un bébé à l'autre en fonction du degré de sensibilité individuelle aux protéines du lait de vache. La plupart des bébés allergiques au lait de vache ont de réactions légères à modérées telles que coliques dues à l'allergie au lait de vache, reflux, diarrhée, constipation, gaz, éruptions cutanées, toux persistante, écoulement nasal et respiration sifflante. Les problèmes graves peuvent inclure des difficultés respiratoires, des saignements rectaux, de l'urticaire ou des éruptions cutanées et de l'anaphylaxie (douleur abdominale sévère, respiration aiguë, rythme cardiaque irrégulier et hypotension artérielle). Les symptômes peuvent apparaître dans les minutes ou jusqu'à quelques jours après avoir mangé un aliment contenant des protéines de lait de vache. Les bébés allergiques au lait de vache peuvent également sembler irrités ou angoissés au moment du repas, dormir mal ou avoir du mal à prendre du poids.
Pas toujours. Les réactions peuvent varier considérablement en fonction de la sensibilité de votre bébé aux protéines du lait de vache. Les signes peuvent être des coliques à cause de l'allergie au lait de vache, du reflux et des éruptions cutanées. Cependant, les bébés qui ne sont pas allergiques aux protéines de lait de vache peuvent également avoir ces problèmes. Pour compliquer les choses, les réactions provoquées par l'allergie au lait de vache n'apparaissent parfois que quelques jours après avoir consommé des formules de lait classique ou des produits contenant du lait. Donc, cela signifie que le lien entre les produits laitiers dans le régime alimentaire de votre bébé et leurs réactions ne sont pas toujours évidentes
Lorsque votre médecin suspecte que votre bébé a une allergie au lait de vache, il est fort probable qu'il vous a recommandé une prise en charge qui passe par l’éviction des protéines du lait de vache de son alimentation pour voir si ses symptômes s'améliorent.
Pour les bébés allaités au sein :
Parce que les protéines du lait de vache peuvent être transmises de la mère au bébé dans le lait maternel, le médecin de votre enfant a pu vous suggérer de retirer complètement les produits laitiers de leur propre alimentation pendant environ 4 semaines. Vous ne devriez pas arrêter d'allaiter parce que le lait maternel fournit la meilleure nutrition pour votre bébé.
Pour les bébés nourris au biberon :
Un régime d'élimination signifie passer à une formule hypoallergénique, ce qui signifie qu'il a été spécialement conçu pour ne pas provoquer de réactions allergiques chez la plupart des enfants allergiques au lait de vache. Les formules hypoallergéniques pour les nourrissons allergiques au lait de vache comprennent des formules fortement hydrolysées et des formules à base d'acides aminés.
Après l'élimination de la protéine du lait de vache du régime alimentaire de votre bébé et l'amélioration des symptômes, votre médecin a peut-être demandé un test de provocation orale, ce qui implique de donner à votre bébé une très petite quantité de lait et de surveiller attentivement les signes de réactions allergiques. Ce processus a normalement lieu dans un cabinet médical ou à l’hôpital ou votre médecin vous a peut-être demandé de réintroduire progressivement la préparation de lait de vache dans l'alimentation de votre bébé pendant que vous notiez des réactions ou des changements de comportement.
Parfois, un médecin peut vous avoir demandé de faire un test allergologiques aux protéines du lait de vache pour confirmer le diagnostic de l'allergie au lait de vache – iI peut s’agir d’un test cutané ou sanguin. Les tests cutanés impliquent d'exposer une petite partie du bras ou du dos de votre bébé aux protéines du lait de vache, puis de piquer doucement la peau pour absorber le liquide. Si le site est devenu rouge ou a enflé dans les 20 minutes suivantes cela indique une sensibilisation. Pour Le test sanguin, un échantillon du sang de votre bébé est prélevé en laboratoire pour mesurer la quantité d'anticorps qui réagissent aux protéines du lait de vache.
Le diagnostic final de l'allergie au lait de vache
dépend principalement à l’interprétation des
résultats et du contexte de l’histoire
clinique.
Si le médecin de votre enfant pense à une APLV, il vous a certainement recommandé d’éliminer toute protéine du lait de vache.
Si vous allaitez au sein votre enfant
Parce que les protéines du lait de vache peuvent être transmises de la mère au bébé par le lait maternel, les mères qui allaitent peuvent avoir été invitées à suivre un régime sans produits laitiers jusqu'à ce que leurs bébés soient sevrés. N'arrêtez pas d'allaiter, car le lait maternel fournit la meilleure nutrition pour votre bébé.
Si vous nourrissez votre bébé au biberon
Les nourrissons nourris au lait maternisé peuvent avoir été invités à passer à une formule spécialement formulée pour ne pas provoquer de réactions allergiques chez les bébés allergiques au lait de vache. La plupart des nourrissons ayant une allergie au lait de vache réussissent bien avec une formule fortement hydrolysée telle que Nutramigen LGG®.
Les protéines du lait de vache de Nutramigen LGG® ont été décomposées ou hydrolysées en petits morceaux, ce qui les rend dans la plupart des cas moins susceptibles de provoquer des réactions allergiques. Rarement, un petit nombre de nourrissons allergiques au lait de vache réagissent sévèrement aux protéines du lait de vache et peuvent ne pas tolérer une formule fortement hydrolysée. Ces nourrissons ont besoin d'une formule hypoallergénique faite à partir des acides aminés, les blocs de construction qui forment des protéines.
La plupart des enfants deviennent tolérants au lait de vache entre 3 et 5 ans. Cependant, vous devez seulement présenter votre enfant aux aliments faits avec du lait de vache sous la supervision d'un professionnel de la santé.
L'allergie au lait de vache est-elle courante?
Environ 2-7,5% des bébés sont allergiques au lait de vache. C'est l'allergie alimentaire la plus courante chez les enfants de moins de 3 ans.
Environ 2 à 7,5 % des bébés sont allergiques aux protéines du lait de vache. Mais la majorité des enfants allergiques aux protéines du lait de vache ne le seront plus vers 3-5 ans.
C'est possible. De 10 à 35 % des bébés allergiques au lait de vache sont également allergiques au soja.1 Si vous êtes inquiet, consultez votre médecin avant d'introduire votre bébé à des aliments potentiellement allergènes comme le lait de vache, le soja, les œufs, le blé, les arachides, les noix et le poisson.
L'allergie aux protéines de lait de vache et
l'intolérance au lactose peuvent présenter les
mêmes symptômes, mais sont bien différentes. Elles
ont quelques symptômes en commun, tels que les
gaz, les douleurs abdominales et la
diarrhée. L'allergie aux protéines du lait de
vache est une réaction du système immunitaire en
présence de protéines de lait, telles que la
caséine et le lactosérum.
L'intolérance au lactose, quant à elle, désigne
l'incapacité de digérer un sucre du lait, le
lactose. Les enfants intolérants au lactose ne
produisent pas (toujours) une enzyme nécessaire à
la digestion de ce sucre du lait. Ainsi, au lieu
d'être digéré et absorbé, le lactose reste dans
l'intestin et y alimente les bactéries, qui
libèrent des acides et des gaz provoquant les
symptômes d'intolérance au lactose. Et,
contrairement à l'allergie aux protéines du lait
de vache, l'intolérance au lactose n'implique pas
le système immunitaire et ne provoque pas de
réactions allergiques.
Votre médecin peut vous conseiller d'aller voir à un allergologue ou un gastroentérologue pédiatrique (médecin spécialiste des problèmes digestifs de l'enfant). Comme certains aliments transformés comme le pain, les céréales et les biscuits peuvent contenir des ingrédients laitiers cachés, il est utile de consulter un professionnel de santé avant de commencer la diversification. Un diététiste peut vous aider à faire en sorte que votre bébé reçoive les apports nutritionnels nécessaires à une croissance et à un développement sains tout en mangeant sans lait.